Auteur : Dewi Hughes (consultant théologique à Teardun GB)
Sermon prêché à All Souls, Langham Place à l’occasion de leur dimanche consacré aux besoins du monde
Amos n’était pas comme la plupart des autres prophètes. Il ne venait pas de l’école des prêtres comme Jérémie, Ézéchiel ou de cercles proches de la cour comme Ésaïe, Daniel et Zacharie. Il n’était absolument pas un homme de l’establishment – c’était un outsider. Il était berger et s’occupait aussi de sycomores. Il venait de l’obscure ville de Tekoa – à 9 km au sud de Bethléem et à 16 km de Jérusalem.
Il vécut environ 150 ans après la division de l’État d’Israël unifié sous Salomon. C’était un temps de grande stabilité et de prospérité sous le long règne d’Azaria / Osias en Juda et de Jéroboam II en Israël. Il fut appelé par Dieu comme Judéen pour aller prophétiser au nord dans le centre religieux de Béthel – de l’obscurité paysanne dans un État / nation à l’establishment religieux d’un autre. Mais il n’était pas un paysan inculte car sa prophétie révèle une connaissance profonde de la Parole de Dieu, de l’histoire et de la politique contemporaine. Il alla comme outsider représenter le peuple des marginaux.
Le peuple marginal – les faibles, ceux qui sont piétinés, les pauvres – aimait Amos. Ils voyaient qu’il représentait un Dieu qui était de leur côté. Voici une charmante histoire à propos d’un Indien de la plus basse classe de la société qui tomba sur une page déchirée de la Bible. Cette page contenait une partie de la prophétie d’Amos. En lisant cette page l’homme fut surpris de trouver que le Dieu dont on parlait dans cette page s’intéressait vraiment au sort des pauvres et des peuples opprimés. Il était décidé à chercher plus avant. Ayant découvert que la page venait d’une Bible chrétienne, il s’acheta un exemplaire de la Bible pour pouvoir lire tout le livre d’Amos et il se mit à lire tout l’Ancien Testament [AT], où il trouva que l’image de Dieu qu’il avait vu dans la page d’Amos était cohérente avec le message de l’ensemble de l’AT. Il arriva au Nouveau Testament où il trouva le Messie qui avait été oint pour prêcher la bonne nouvelle aux pauvres, et il devint chrétien. Le Saint Esprit avait ouvert l’esprit de cet homme à la vérité de la Parole de Dieu, mais la vérité sur laquelle il tomba était une vérité tout à fait réelle pour lui au 20e siècle comme membre de la classe pauvre et méprisée de l’Inde. La religion hindoue dans laquelle il avait été élevé ne lui offrait aucun espoir. Au contraire elle justifiait la situation dans laquelle il était. Mais voici qu’il y avait un Dieu qui prenait soin des pauvres et des opprimés et qui condamnait l’injustice.
Je ne me souviens pas si Amos 5 était la page que l’Indien dalit avait trouvé, mais ça aurait pu être celle-là. Ainsi vous, puissant, riche, en sécurité, peuple de l’establishment, préparez-vous aujourd’hui à entendre la Parole de Dieu de la bouche du prophète Amos. Vous êtes ici pour chercher Dieu – mais Amos nous rappelle que ceux qui cherchent Dieu font le bien, et faire le bien signifie utiliser tout ce que nous avons et sommes pour la justice.
Regardez ce qui se passe dans notre monde. On m’a donné 30 minutes maximum pour vous parler. Pendant ce laps de temps, on estime que 600 enfants mourront de maladies qui auraient pu être aisément évitées avec une bonne hygiène de vie, des vaccinations de base, etc. Plus d’un milliard de personnes vivent avec moins d’un dollar par jour. 20% de la population mondiale – et nous sommes dans ces 20% – ne sont pas gênés à l’idée de dépenser deux fois ce montant tous les jours pour une tasse de café. Peu importe si je suis traité de naïf ou de simpliste, mais je veux vous déclarer par l’autorité de la Parole de Dieu au travers de Amos que cette situation est scandaleusement injuste et nous devons voir qu’il y a un lien entre nos excès obscènes et la pénurie obscène chez les pauvres. En tant que riches chrétiens occidentaux, nous ne pouvons pas nous laver les mains de toute responsabilité dans cette situation.
Amos 5
Avant de passer au texte de Amos 5 je veux dire quelque chose sur son style. Je me tiens au pupitre où John Stott (commentaire du Défi Michée : John Stott est Recteur émérite à All Souls) enseigne semaine après semaine de manière très claire. Mais laissez-moi vous dire : Amos n’était pas comme John Stott. Dans ses discours, Amos saute partout et souvent, il ne suit pas du tout une ligne claire et logique. Personnellement, j’aime le style d’Amos et je ne vais pas essayer de le soumettre aux règles de la logique classique.
Les 3 premiers versets d’Amos 5 annoncent une fois encore le jugement qui va venir sur Israël, c’est une véritable lamentation sur Israël. Cependant, l’invitation de chercher le Seigneur et la vie demeure [ v. 4]. Le royaume du Nord d’Israël était à une trentaine d’années d’être balayé de la face du monde pour ne jamais reparaître quand Amos prophétisa, mais Dieu était encore prêt à pardonner. C’est un thème constant des prophéties de l’AT. Comme il est dit dans Ésaïe : “Venez et plaidons ! dit l’Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige…” [Ésaïe 1.18].
Il faut comprendre que l’attaque cinglante d’Amos contre la méchanceté du peuple était une attaque contre un peuple très religieux. Ils s’assemblaient dans leurs lieux d’adoration, ils aimaient leurs fêtes religieuses et ils allaient en pèlerinage. La tragédie était que la religion de leurs sanctuaires et de leurs sites de pèlerinage – Béthel, Guilgal et Beer-Chéba [v. 5] – étaient les leurs et non ceux de la religion de Dieu, même si ces lieux représentaient des événements particulièrement signifiants dans l’histoire d’Israël et témoignaient de qui est Dieu.
À partir du verset 6 il y a une sorte de symphonie sur les thèmes de Béthel, Beersheba et Guilgal. Il est important de se souvenir ce que ces lieux représentaient dans l’histoire du peuple de Dieu pour comprendre le chapitre. En bref,
- Béthel représente la rencontre avec le Dieu qui transforme,
- Beersheba avec le Dieu qui est avec son peuple
- Guilgal avec le Dieu qui s’attend à ce que la justice règne parmi son peuple.
Analysons ces trois thèmes :
1. Béthel v. 6-13
Le sanctuaire de Béthel avait été établi par Jéroboam I pour décourager les citoyens du royaume du Nord d’Israël d’aller adorer à Jérusalem. Il était considéré par Dieu comme un sanctuaire idolâtre et il devint une plaie purulente dans la vie spirituelle d’Israël.
Bien que Béthel soit un endroit très important dans la façon dont Dieu s’occupait des affaires des Israélites, c’était Jacob qui avait donné ce nom de Béthel [qui signifie ‘maison de Dieu’] après le songe qu’il avait eu là quand il fuyait son frère Ésaü [Genèse 28.10-19]. Il y est ensuite retourné après les années passées avec son oncle Laban et Dieu lui déclara qu’il ne s’appellerait plus Jacob mais Israël :
Genèse 35.1,10 :
1 « Dieu dit à Jacob : Lève-toi, monte à Béthel, et demeures-y ; là, tu dresseras un autel au Dieu qui t’apparut, lorsque tu fuyais Ésaü, ton frère »
Après avoir construit un autel et offert un sacrifice,
10 « Dieu lui dit : Ton nom est Jacob ; tu ne seras plus appelé Jacob, mais ton nom sera Israël. Et il lui donna le nom d’Israël. »
Béthel était cet endroit où Jacob a rencontré le Dieu qui transforme. Cette transformation s’est faite sur de nombreuses années, de Jacob [= le trompeur] en Israël [= celui avec qui Dieu lutte]. Dieu s’est occupé de Jacob pour qu’il devienne finalement une personne différente.
Dans l’histoire du peuple d’Israël, Béthel représentait donc le lieu de la rencontre avec le Dieu qui transforme, qui change des personnes pour le bien. Mais Béthel ne signifiait pas cela pour les Israélites du temps d’Amos. Ils aimaient aller à Béthel pour adorer, mais il n’y avait aucune preuve dans leur vie qu’ils avaient rencontré le Dieu qui transforme pendant qu’ils étaient là-bas. C’est pour cette raison qu’Amos leur dit de rechercher Dieu et non Béthel parce que le jugement va venir sur ce lieu [v. 6].
En v. 7,10,11a,12b,13 nous avons la preuve que les Israélites n’ont pas rencontré le Dieu qui transforme quand ils allaient à Béthel. C’est une preuve contre eux :
7. Ô vous qui changez le droit en absinthe, et qui foulez à terre la justice !
10. Vous haïssez celui qui reprend à la porte, et vous méprisez celui qui dit la vérité.
Les tribunaux, où on pouvait s’attendre à la justice, étaient utilisés par les puissants pour leurs propres fins et ceux qui demandaient justice étaient méprisés et écartés. Il n’y avait pas de réparation pour les faibles.
11. vous avez foulé le misérable, et vous avez pris de lui du blé en présent
12. vous opprimez le juste, vous recevez des présents, et vous violez dans les tribunaux le droit des pauvres.
Le système judiciaire était dévoyé en vue de l’exploitation des pauvres. Sans la possibilité d’aucune réparation, les pauvres étaient obligés de travailler au profit des riches. Les riches et les puissants utilisaient leur prestige légal, social et économique pour augmenter leur consommation aux dépens des pauvres. Voici ce qu’était Israël – le peuple à qui Dieu avait donné le territoire à partager équitablement suivant ses lois pour que la société reste équitable. Ils avaient complètement oublié que Dieu les avait sauvés de l’esclavage et leur avait donné le pays à condition qu’ils vivent sous l’autorité de sa loi. La justice était le but pour lequel Dieu avait transformé leur esclavage en liberté.
Au point où nous en sommes rendus, il pourrait être bon de se souvenir que dans l’Ancien Testament les idées de justice et de droiture ne peuvent pas être séparées l’une de l’autre. D’un point de vue biblique, c’est un non-sens de suggérer qu’il est possible d’être en règle avec Dieu tout en n’exprimant pas cela dans la manière dont nous nous comportons à l’égard des autres. Comme le dit Motyer « ‘droiture’ [mispat] est le mot qui résume les principes inhérents à la sainteté divine, et ‘justice’ [sedaqah] est l’application pratique de ces principes de façon personnelle et sociale » [Motyer, New Bible Commentary, p.801].
Cette section qui souligne les témoignages contre Israël se termine par l’affirmation ironique du verset 13 : « Voilà pourquoi, en des temps comme ceux-ci, l’homme intelligent se tait, car ces temps sont mauvais. » Cette affirmation pourrait exprimer la résignation – « À quoi ça sert de dire quelque chose ? Nous avons passé le point de non retour. Le jugement est inévitable. » Mais il est plus vraisemblable qu’elle soit ironique. L’homme « intelligent » sait ce qui se passe, sait que c’est mal, mais se contente de hausser les épaules. C’est ce qui se passe quand les temps sont mauvais, mais que nous ne pouvons rien y faire. Je pense que c’est Edmund Burke qui a dit : « Tout ce dont vous avez besoin pour que le mal triomphe est que les hommes bons ne fassent rien. » En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas nous payer ce luxe.
Je veux terminer cette section sur Béthel en revenant aux versets 8-9 qui sont entre parenthèses dans la version NIV parce qu’il s’agit clairement d’une parenthèse dans le texte original. Quel est leur message ?
Que Dieu est le grand Transformateur.
Il a fait les Pléiades et Orion pour marquer le changement des saisons ; il change la nuit en jour et le jour en nuit ; il fait que ce qui est sec soit mouillé ; il change une ville fortifiée imprenable en ruines qui ne protègent personne. En un mot, il est le Dieu qui transforme ou change les choses – et les gens. Il est le Dieu de Béthel. Mais les gens qui allaient à Béthel à l’époque d’Amos ne le rencontrait pas là parce que leur vie ne changeait pas pour le mieux. Peut-on dire la même chose de nous ? Allons-nous hausser les épaules et dire qu’il n’y a rien que nous puissions faire et continuer à mener notre style de vie mondain occidental et terne, en pensant que tant que notre doctrine est bonne et que nous avons un culte personnel tous les jours nous vivons une vie chrétienne ?
1. Béer-Chéba, versets 14-20
Béer-Chéba fut un endroit chargé de sens dans la vie des patriarches Abraham, Isaac et Jacob. Cet endroit se trouve au sud de Jérusalem dans la direction du Sinaï et de l’Égypte.
En Genèse 26.23-24, il est écrit qu’Isaac « remonta de là à Béer-Chéba. L’Éternel lui apparut cette nuit-là et dit : Je suis le Dieu d’Abraham, ton père ; sois sans crainte, car moi je suis avec toi ; je te bénirai et je multiplierai ta descendance, à cause de mon serviteur Abraham. » Puis, en Genèse 46.1-4, il est écrit qu’ « Israël [Jacob] partit avec tout ce qui lui appartenait. Il arriva à Béer-Chéba et offrit des sacrifices au Dieu de son père Isaac. Dieu parla à Israël dans des visions nocturnes. Il dit : Jacob ! Jacob ! (Israël) répondit : Me voici ! Et (Dieu) dit : Je suis Dieu, le Dieu de ton père. Ne crains pas de descendre en Égypte, car c’est là que je te ferai devenir une grande nation. C’est moi qui descendrai avec toi en Égypte et c’est moi qui t’en ferai aussi remonter ; et Joseph te fermera les yeux de sa propre main. »
Béer-Chéba était le lieu où Dieu avait assuré les patriarches qu’il était avec eux. L’idée clé des versets 14-20 est qu’à cause de son péché, Israël ne peut plus affirmer que Dieu est avec lui. Mais même dans ces conditions, l’offre de la vie est toujours disponible : « Recherchez le bien et non le mal afin que vous vivez, et qu’ainsi l’Éternel, le Dieu des armées soit avec vous, comme vous le dites. » (verset 14)
Encore une fois, c’est sur l’injustice dans les tribunaux qu’Amos se concentre, comme sur quelque chose qui résume leur mal. Comme nous l’avons déjà mentionné, la loi que Dieu a donnée au Sinaï aurait apporté des réparations face à l’exploitation des pauvres si les tribunaux fonctionnaient normalement. Mais les puissants contrôlaient les tribunaux et ainsi les pauvres ne pouvaient pas obtenir de réparation. La raison pour laquelle les puissants faisaient cela est que cela leur apportait une très bonne situation et les faisaient jouir d’un niveau de vie très élevé. Si nous regardons les institutions clés qui pèsent sur ce qui arrive aux personnes pauvres dans notre monde, nous verrons qu’elles sont toutes dominées par les pays riches et puissants – l’ONU, l’Organisation Mondiale du Commerce, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, pour nommer certaines des institutions clés. En général, des pays riches comme les nôtres se trouvent dans ces institutions pour défendre leurs intérêts. En tant que chrétiens, sommes-nous satisfaits de ce que les pays riches utilisent les institutions internationales pour garantir que nous puissions continuer de jouir de notre style de vie dépensier ? Pouvons-nous ignorer ce qui se passe dans le monde et nous sentir confiants que tout ira bien pour nous au jour du Jugement de Dieu ?
Amos avertit les Israélites aux versets 18-20 de ce que le jour du Jugement de Dieu ne sera pas pour leur justification, mais pour leur destruction. Il n’y aura pas moyen d’échapper. Quand nous pensons au « Jour du Seigneur », il n’est pas suffisant de regarder en arrière à un moment de notre passé où nous avons choisi de lui appartenir d’une manière spéciale. Nous devons aussi nous demander où nous en sommes maintenant dans notre relation avec Dieu. Il n’y a rien de bien dans le fait de se confier dans l’élection de Dieu si aucun témoignage de cette élection n’apparaît dans notre vie.
Les versets 19-20 contiennent une autre des images très graphiques d’Amos. Imaginez une personne s’enfuyant devant un lion et se cognant contre un ours ! Il réussit aussi à se débarrasser de l’ours et à rentrer en sécurité dans sa maison. Et là, alors qu’en haletant il s’appuie contre le mur de sa maison, un serpent le mord ! Il n’y a pas moyen d’échapper au jugement de Dieu.
Cela nous rappelle ce que Jésus a dit à la fin du sermon sur la montagne : « Quiconque me dit : Seigneur, Seigneur ! n’entrera pas forcément dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. » [Matthieu 7.21.] Ce qu’Amos souligne, c’est le fait que faire la volonté du Père signifie pratiquer la justice.
Guilgal, versets 21-27
La référence à Guilgal dans ces versets apparaît au verset 24 : « Mais que le droit coule comme de l’eau, et la justice comme un torrent intarissable. » La référence se cache dans le verbe « couler ». Guilgal fut le premier lieu de campement d’Israël dans la terre promise, à l’Ouest du Jourdain. Là, ils mangèrent les produits du pays, la manne cessa et tous les hommes furent circoncis. « L’Éternel dit à Josué : Aujourd’hui, j’ai roulé loin de vous la honte de l’Égypte. Aussi a-t-on appelé ce lieu du nom de Guilgal [« le roulement »] jusqu’à aujourd’hui. » [Josué 5.9] Ainsi, Guilgal signifie rouler / s’écouler / rouler au loin. Dieu entendait qu’Israël soit un peuple et un lieu à partir desquels la justice roulerait ou s’écoulerait, mais au lieu de justice, toutes sortes de méchancetés jaillissaient du milieu d’eux.
Malgré cela, ils aimaient toujours se rassembler pour adorer, pensant que Dieu serait satisfait de leurs offrandes [versets 21-23]. Ils étaient de grands « adorateurs » qui ne mettaient pas leur adoration en pratique par une vie juste. C’est pourquoi Dieu dit qu’il en a assez de leurs chants et qu’il en est fatigué.
Dieu n’a pas changé. Il exige toujours que la justice / la droiture coule et jaillisse de nous son peuple du Nouveau Testament. Il aspire à avoir des personnes éduquées et connectées comme il faut avec une abondance de ressources pour aimer la miséricorde, pratiquer la justice et marcher humblement avec lui. [Michée 6.8]
C’est pourquoi Tearfund s’est tellement engagé dans le mouvement Make Poverty History et en faveur de ses trois objectifs clés de promouvoir la justice dans le commerce, la réduction des dettes des pays pauvres et l’augmentation du niveau de l’aide. C’est pourquoi Tearfund soutient aussi le Défi Michée qui travaille avec l’Alliance Évangélique Mondiale pour mobiliser les chrétiens évangéliques dans le soutien aux Objectifs du Millénaire pour le Développement de l’ONU.
http://www.allsouls.org/ascm/allsouls/static/sermons/showsermon.flow?id=11019
CostumeLooks dit
Amos, lui, ne semble finalement retenir que cela, comme si c’etait la clef de tout le reste, la clef de la vie : chercher Dieu. Meme l’athee, meme celui qui n’a jamais senti la presence de Dieu, meme celui qui doute de l’existence meme de Dieu peut le chercher. Il n’y a que l’integriste qui ne cherche plus Dieu, il croit l’avoir trouve. Ou l’inte 2 griste athee qui ne le cherche pas non plus.